Entrée de l'exposition
Entrée de l'exposition
Moi dans la foule.
La débâcle en plein centre.
Vue sur une partie de l'espace d'exposition.
Vue sur une partie de l'espace d'exposition.
La débâcle et la foule.
La débâcle et la foule.
Une enfant facinée par La débâcle.
J'ai rencontré plein de personnes sympatiques!
La débâcle et la foule.
Philip Glahn, Richard Hricko, Nick Kripal et moi
Dissémination de l'oeuvre de Guerrilla-altruism
Merci aux commissaires Richard Hricko, Philip Glahn et Nick Kripal, ainsi qu'à tous les gens du
Crane Arts pour leur acceuil. Merci au
Conseil des Arts du Québec qui a rendu ce voyage possible. Merci à
Jean-Simon Desrochers, à Marie Desrochers et France Dupuis pour leurs soutiens indispensables.
2 commentaires:
Bonjour. Je ne connais rien des impératifs ou des contraintes qu'implique l'installation d'une oeuvre d'art, mais je me demande... «La débâcle» ne devrait-elle pas être positionnée au niveau des yeux plutôt qu'au niveau du sol, donc sur une surface surélevée, de façon à produire un effet similaire à celui provoqué par les magnifiques photographies de décembre ?
La débâcle à toujours été au sol. C'est le point de vue de la caméra ou de l'interprétant qui change. Travailler l'oeuvre directement au sol réfère à la notion même de jardin et de paysage. Il faut se déplacer pour percevoir les possibles de l'oeuvre.
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